Le NICE autorise le brigatinib dans le cadre du CBNPC ALK-positif

  • Univadis
  • Clinical Summary
L'accès à l'intégralité du contenu de ce site est reservé uniquement aux professionnels de santé disposant d'un compte. L'accès à l'intégralité du contenu de ce site est reservé uniquement aux professionnels de santé disposant d'un compte.

À retenir

  • L’Institut national britannique d’excellence en matière de santé et de soins (National Institute for Health and Care Excellence, NICE) recommande l’administration de brigatinib dans le cadre du traitement du cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) avancé positif pour la kinase du lymphome anaplasique (Anaplastic Lymphoma Kinase, ALK), chez des adultes n’ayant reçu aucun traitement antérieur avec un inhibiteur de l’ALK.

Pourquoi est-ce important ?

  • Peu d’options thérapeutiques sont disponibles dans le cadre du CBNPC ALK-positif.

Points clés

  • Des études suggèrent que le brigatinib pourrait être plus efficace pour retarder la progression de la maladie que le crizotinib, qui est souvent proposé après la chimiothérapie aux patients dont le statut d’ALK est inconnu au moment du diagnostic.
  • Comparativement à l’alectinib, qui est le traitement le plus fréquemment utilisé dans le cadre du CBNPC ALK-positif, le brigatinib offre un fardeau du traitement moins important (un comprimé par jour, contre huit comprimés par jour).
  • Dans le cadre de l’essai contrôlé randomisé de phase III ALTA-1L, mené en ouvert, le brigatinib était associé à une amélioration significative de la survie sans progression (SSP) chez des adultes atteints d’un CBNPC ALK-positif avancé ou métastatique et non traité, comparativement au crizotinib.
  • Aucune étude n’a réalisé de comparaison directe entre l’alectinib et le brigatinib, et on ne sait pas si le bénéfice de survie globale (SG) observé avec le brigatinib est supérieur à celui offert par l’alectinib.