Dans le cadre du LPP, un cancer du poumon rare, la chirurgie offre la meilleure SG

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À retenir

  • Dans les rares cas de léiomyosarcome pulmonaire primitif (LPP), la chirurgie offre la meilleure chance de survie plus longue en diminuant la mortalité de 57 %.
  • Le LPP représente moins de 0,5 % de la totalité des cas de cancers du poumon.

Pourquoi est-ce important ?

  • Les patients présentent souvent des symptômes non spécifiques, ce qui rend le diagnostic précoce du LPP difficile.

Conception de l’étude

  • 231 patients atteints d’un LPP provenant de la base de données Surveillance, épidémiologie et résultats finaux (Surveillance, Epidemiology, and End Results).
  • Financement : Shanghai Sailing Program, hôpital de Changzheng, et Fondation de la Commission municipale pour la santé et la planification familiale de Shanghai.

Principaux résultats

  • 54,9 % des tumeurs se trouvaient dans le poumon droit.
  • 60,4 % des patients ont fait l’objet d’une résection chirurgicale et 14,1 % des patients ont reçu une radiothérapie.
  • La SG médiane était de 14,0 mois.
  • La SG était de 52,7 % à un an, de 29,0 % à trois ans et de 22,2 % à cinq ans.
  • La SG était prolongée de près de 29,0 mois par la chirurgie, comparativement à l’absence de chirurgie (33,0 mois contre 4,0 mois ; P < 0,01).
  • Après l’analyse multivariée, le stade à distance de la maladie était un facteur prédictif significatif d’un mauvais pronostic (RR : 2,22 ; IC à 95 % : 1,30–3,79) et la chirurgie était un facteur prédictif significatif d’une meilleure SG, puisqu’elle a réduit la mortalité de 57 % (RR : 0,43 ; IC à 95 % : 0,27–0,67).

Limites

  • Étude rétrospective.