COVID-19 Les points forts de la semaine autour du monde : Variant Omicron, nouveaux confinements en vue et restrictions de vols...
- Claudia Bravo
- Medical News
En raison de l'évolution rapide de la nature de la pandémie COVID-19, Medscape souhaite partager avec vous les articles les plus marquants et les plus pertinents sur le plan clinique de la semaine dernière.
Il s'agit d'un aperçu des meilleures pratiques émergentes au cours d'une pandémie qui évolue rapidement. Toutes les informations actuellement disponibles concernant COVID-19 sont susceptibles d'être modifiées à mesure que de nouveaux détails seront disponibles. Certaines des informations ci-dessous peuvent également être contredites par les autorités sanitaires locales ou mondiales.

Le vaccin Pfizer pour enfants sera disponible le 13 décembre dans l'Union européenne.
Le vendredi 26 novembre, l'Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) a indiqué que le dernier taux de reproduction estimé par COVID-19 se situait entre 1,0 et 1,1. Cela signifie qu'en moyenne, pour 10 personnes infectées, 10 à 11 infections secondaires se produiront, ce qui représente un bond par rapport à la semaine précédente, où les chiffres étaient compris entre 0,8 et 1,0.
Pour l'ensemble du Royaume-Uni, les cas de COVID-19 s'élèvent à environ 40 000 par jour, soit un taux de 439,4 pour 100 000 habitants. Le nombre de décès a diminué de 14,9 % et le nombre d'admissions à l'hôpital a baissé de 7,1 %. Jusqu'à présent, 80,6% des plus de 12 ans ont reçu deux doses et 31,7% ont reçu une troisième dose de vaccin ou un rappel.
Le taux de croissance, c'est-à-dire la vitesse quotidienne à laquelle les infections COVID se développent, a également augmenté. Le dernier taux de croissance est estimé entre -1% et +2%, alors que les chiffres de la semaine précédente se situaient entre -2% et 0%. Cela suggère que le nombre de nouvelles infections reste à un niveau stationnaire, mais que les cas quotidiens peuvent se propager rapidement jusqu'à 2% ou diminuer de 1%.
Pour la semaine se terminant le 19 novembre, le nombre de décès impliquant le COVID-19 au Royaume-Uni était de 1088, soit 110 de moins que la semaine précédente.
Deux premiers cas d'infection par le variant Omicron ont été confirmés en France, à la Réunion mardi et en Ile-de-France jeudi chez des voyageurs revenant d’Afrique. Le variant inquiète les experts alors la cinquième vague de l'épidémie continue de progresser fortement en France. Plus de 49 610 nouveaux cas ont été enregistrés au 1er novembre, un chiffre en hausse de 63 % en une semaine. Au 1er décembre, l'incidence nationale était de 311 pour 100 000 habitants avec un Re de 1,6. Le nombre de patients hospitalisés était de 10 558 mercredi, proche du pic de la quatrième vague de cet été, avec plus de 11 200 patients atteints du Covid-19 enregistrés à l’hôpital au 30 août. Au total, plus de 8 millions de personnes ont reçu une dose de rappel au 1er novembre, selon la DGS. La Haute Autorité de Santé (HAS) a recommandé " l'ouverture de la vaccination contre le coronavirus pour les enfants de 5 à 11 ans à risque de développer une forme grave de la maladie, et attend de nouveaux éléments pour un éventuel élargissement à tous les enfants. " Au 1er décembre, 64 enfants de moins de 9 ans étaient hospitalisés à cause du COVID-19 en France dont 8 en réanimation.
La France a durci ses conditions d’entrée pour les non-européens. Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal a annoncé un test négatif de moins de 48 heures obligatoire pour les voyageurs non-européens voulant rentrer en France.
En raison des fortes tensions en Martinique et en Guadeloupe, le gouvernement a reporté l'obligation vaccinale des professionnels de santé du 15 novembre au 31 décembre. "Des groupes d'écoute et de dialogue" ont été mis en place pour recevoir "individuellement chaque professionnel concerné par une suspension pour non-respect de l'obligation vaccinale", a indiqué le gouvernement. A Pointe-à-Pître, les professionnels de santé ont de grandes difficultés à maintenir l’accès aux soins à l'hôpital.
En Allemagne, le Robert-Koch-Institut (RKI) a signalé 67 186 nouveaux cas de COVID-19 en 24 heures, soit à peu près le même nombre qu'il y a une semaine. L’incidence des infections pour 100 000 habitants au 1er décembre matin était de 442,9 (semaine précédente : 404,5 ; mois précédent : 118,0). La valeur R à 7 jours est actuellement de 0,89, contre 1,01 il y a une semaine. Pour le variant Omicron, au moins 3 cas ont été confirmés en Allemagne.
Au moins 57 millions de personnes sont désormais totalement vaccinées contre le COVID-19. Cela représente 68,6 % de la population totale. L'objectif du gouvernement fédéral et des gouvernements des États fédérés, qui est de fournir jusqu'à 30 millions de premières et deuxièmes vaccinations et de rappels d'ici Noël, ne serait pas réalisable au rythme actuel des vaccinations. À raison d'environ 800 000 vaccinations par jour, un total d'environ 20 millions seulement serait atteint d'ici Noël.
Le chancelier désigné Olaf Scholz (SPD) et la chancelière Angela Merkel (CDU) avaient convenu mardi (30 novembre) avec les chefs des provinces fédérales que de nouvelles actions seraient décidées dans les prochains jours. Sont prévues des restrictions de contact pour les personnes non vaccinées, des exigences plus strictes lors des grands événements et un accès réservé aux personnes vaccinées ou rétablies du Covid pour d'autres secteurs comme le commerce de détail. Il est également prévu d'introduire une obligation universelle de vaccination, qui devrait débuter au printemps 2022.
En Autriche, 70,34% de la population éligible au vaccin avait reçu un schéma complet au 30 novembre. 71,07% ont reçu au moins une dose. L'incidence sur sept jours était de 894,2/100 000 au 29 novembre. Le projet du gouvernement autrichien de "loi sur la vaccination contre le COVID-19", qui entrerait en vigueur le 1er février 2022, suscite de vifs débats. Selon le média autrichien Die presse, Vienne a annoncé son intention d’infliger une amende de 7.200 euros à toutes les personnes qui refuseraient de recevoir la vaccination à partir de février 2022. À partir de cette date, la vaccination deviendra en effet obligatoire pour toutes les personnes dont la résidence permanente se trouve en Autriche. Actuellement, le pays est en état d'urgence. Le ministère de la Santé prévoit de décider la semaine prochaine si celui-ci prendra fin le 12 décembre pour les personnes vaccinées et rétablies.
En Suisse, l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) a signalé 10 466 nouvelles infections à coronavirus en 24 heures, mercredi 1er décembre. Actuellement, 1 335 personnes sont traitées à l'hôpital pour le COVID-19. Les lits de soins intensifs des hôpitaux suisses (y compris les lits ad hoc) étaient occupés à 81 % de leur capacité mercredi 1er décembre. Dans le pays, un peu moins de 68% de la population est actuellement vaccinée. Pour les manifestations culturelles et sportives, une obligation de vaccination est en discussion.
Tous les hôpitaux de Belgique ont été invités à reporter immédiatement tous les soins non urgents pendant deux semaines afin de libérer des lits pour les patients atteints du coronavirus, a annoncé le comité Hospital & Transport Surge Capacity (HTSC). Depuis le début de la semaine, l'augmentation du nombre de nouveaux cas de COVID-19 détectés quotidiennement a légèrement ralenti pour la première fois depuis des semaines, une tendance qui devrait bientôt se répercuter sur le nombre d'hospitalisations et de patients traités en soins intensifs.
Le Portugal entrera à nouveau en état d’urgence le 1er décembre. L'obligation de porter le masque sera limitée à l'intérieur, et le certificat de vaccination numérique sera obligatoire dans les hôtels, les restaurants et pour les événements. Le gouvernement a également défini des mesures restrictives pour les fêtes de fin d'année. Un confinement partiel sera mis en place après la période de Noël et du Nouvel An, la semaine du 2 au 9 janvier. Les écoles ne reprendront leurs activités que le 10 janvier. Les bars et les clubs seront également fermés la première semaine de l'année et le télétravail sera obligatoire. En plus d'autres mesures, le gouvernement a recommandé de procéder à des tests réguliers avant les réunions de famille de fin d'année.
Le pays compte plus de 87% de la population complètement vaccinée mais a déjà détecté 13 cas de variant Omicron lundi (29 novembre) chez les joueurs et le personnel de l'équipe Belenenses-SAD, un club de football de Lisbonne récemment rentré d'Afrique du Sud. Samedi (27 novembre), l'équipe a joué un match du championnat portugais, contre une autre équipe locale, Benfica.
L'incidence nationale au 30 novembre était de 325,9 cas d'infection par le SRAS-CoV-2 pour 100 000 habitants, avec un taux de transmission national de 1,17.
En Italie, les premiers cas liés au variant Omicron ont été signalés dans une famille dont le père avait voyagé au Mozambique et en Afrique du Sud. Mais le nombre de cas d’infections au variant Delta est également en augmentation. La région du Frioul-Vénétie Julienne, ainsi que la province de Bolzano, au nord-est du pays, près de l'Autriche, ont été déclarées "zones jaunes" (deuxième niveau de préoccupation, allant du blanc au jaune, à l'orange et au rouge). En effet, la semaine dernière, le seuil de 100 nouveaux cas pour 100 000 habitants a été franchi, atteignant 112 : le virus circule au même niveau qu'au printemps dernier. Le taux d'occupation des lits de soins intensifs est également en hausse (de 5,3 à 6,2%). Un nouveau décret du gouvernement est entré en vigueur qui étend la vaccination obligatoire aux enseignants, aux personnels de l'armée et de la police. Il autorise l'accès aux centres commerciaux, aux cinémas, aux théâtres, aux restaurants et aux salles de sport uniquement aux personnes vaccinées ou rétablies du Covid. Elles recevront un "laissez-passer vert renforcé", dont la validité est réduite de 12 à neuf mois. Un laissez-passer vert "normal" (demandant un test antigénique) ne sera suffisant que pour aller travailler, faire des courses de première nécessité et utiliser les transports publics.
Le nombre de vaccinations augmente principalement en raison des rappels. On constate également une augmentation du nombre de premières doses, qui est revenu à plus de 20 000 par jour comme il y a un mois, avec une croissance de 40% par rapport à la semaine dernière. À ce jour, près de 85 % des plus de 12 ans ont été vaccinés : si l'on ajoute ceux qui ont reçu au moins une dose et ceux qui se sont remis de l'infection naturelle, il y a moins de 6 mois, 9 Italiens de plus de 12 ans sur 10 bénéficient désormais d'une forme de protection, selon le ministère de la santé.
En Espagne, la pandémie continue sa progression, après avoir dépassé les 10 000 cas au cours des dernières 24 heures, selon les données officielles de ce mardi (30 novembre). Quant à l'incidence à 14 jours, elle a atteint 208,5 cas pour 100 000 habitants, des chiffres qui n'avaient pas été vus depuis début septembre.
Le ministère de la Santé a recommandé de limiter la jauges pour les événements publics et sociaux, "en particulier pendant les fêtes de Noël" et a fait rappeler les "incertitudes liées au variant Omicron" et à la "possible diminution de l'efficacité du vaccin" parmi la population. Au mercredi (1er décembre), deux cas de variant omicron avaient été signalés en Espagne, tous deux à Madrid, par des personnes revenues d'Afrique du Sud et qui étaient entièrement vaccinées.
Le ministère de la Santé a approuvé mardi 30 novembre un accord établissant des mesures exceptionnelles pour limiter la propagation du variant B.1.1.529 (omicron), en limitant les vols entre l'Afrique du Sud, le Botswana, l'Eswatini, le Lesotho, le Mozambique, la Namibie et le Zimbabwe et les aéroports espagnols.
Dans la population générale, les progrès de la vaccination ont à peine progressé : 79,3% ont le calendrier complet du vaccin, et 80,8% ont reçu au moins une dose.
La semaine dernière, 753 000 nouveaux cas de COVID-19 et plus de 13 000 décès associés ont été signalés en Amérique.
La nouvelle de la découverte du variant Omicron est survenue au moment où les Américains tentaient de profiter de leurs vacances de Thanksgiving. Les États-Unis sont à l'affût de leur premier cas, le Dr Fauci affirmant qu'il ne s'agit pas de savoir si le variant sera là, mais quand. En réponse à ce variant, les États-Unis ont émis de nouvelles interdictions de voyager en Afrique du Sud et ont renforcé leur recommandation de rappel vaccinal pour tous les adultes.
Par ailleurs, le variant Delta continue de faire des ravages dans le Midwest et le Nord-Est, et la plupart des modèles prévoient une nouvelle augmentation des cas après les vacances, qui sont l'une des périodes de voyage les plus importantes de l'année. Pour l'instant, les cas de COVID-19 aux États-Unis semblent être stables, avec une moyenne d'environ 85 000 cas quotidiens et 900 décès, en raison des retards de déclaration pendant les vacances de Thanksgiving.
Au Mexique, le nombre de cas estimés de COVID-19 a augmenté de 8% par rapport à la semaine précédente et le Secrétaire à la santé n'exclut pas une quatrième vague. Selon les autorités sanitaires, 85% des personnes vaccinées contre le COVID-19 sont complètement vaccinées. Le Président du Mexique a assuré que la troisième dose du vaccin COVID-19 devra être réalisée, les personnes âgées et les enseignants étant prioritaires.
Selon la directrice de l'OPS, Carissa F. Etienne, 54 % de la population d'Amérique latine et des Caraïbes est entièrement vaccinée.
En Amérique centrale, le nombre de cas et de décès a diminué la semaine dernière dans tous les pays sauf au Panama. En Amérique du Sud, le nombre de cas est en augmentation constante depuis plusieurs semaines. Dans la région andine, le nombre de cas se stabilise. Dans les Caraïbes, les cas sont en augmentation dans les îles Caïmans et à Anguilla.
Le Dr Etienne a également appelé au respect des mesures barrières, telles que l'utilisation de masques, la distanciation sociale et le lavage fréquent des mains, les définissant comme les "actions les plus efficaces pour réduire la propagation du virus SRAS-CoV-2, diminuer les hospitalisations et sauver des vies". Il est important de noter que ces mesures sont efficaces contre tous les variants, y compris l'omicron. "
Au Brésil, l'Agence nationale de surveillance sanitaire (Anvisa) a confirmé mardi 30 novembre, 2 cas du nouveau variant préoccupant (VOC) Ômicron du SRAS-CoV-2. Avant cette annonce, les maires de huit capitales avaient déjà annoncé l'annulation d'événements pour célébrer la fin de l'année en raison des risques posés par l'émergence du nouveau variant. Jusqu'au 30, la ville de Rio de Janeiro, l'une des destinations touristiques préférées du pays, et la ville de São Paulo, ont maintenu leur programme de réveillon mais ont déclaré qu'elles surveilleraient l'évolution de la pandémie.
Samedi 27 novembre, après avoir été en désaccord avec Anvisa, qui recommandait des restrictions sur les vols en provenance de certains pays africains, le gouvernement a finalement décidé d'interdire l'entrée des personnes en provenance d'Afrique du Sud, du Botswana, d'Eswatini, du Lesotho, de la Namibie et du Zimbabwe.
Au 30 novembre, plus de 62,44 % des Brésiliens avaient reçu une deuxième dose ou une dose unique d'un vaccin anti-COVID-19, complétant ainsi le calendrier de vaccination. C'est l'équivalent de 133 190 157 personnes. 74,46% de la population a reçu au moins la première dose (158 839 084 personnes). La dose de rappel a été administrée à 16 067 524 personnes (7,53 % de la population).
En Afrique du Sud, l'Institut national des maladies transmissibles (NICD) a enregistré lundi 29 novembre 2 963 nouveaux cas, avec une augmentation de la détection des cas positifs de 15,2 % (la veille, elle était de 10,6%). Les cas ont été multipliés en deux semaines par plus de quatre (330 %) dans la province de Gauteng, la région où l'omicron a été détecté pour la première fois, avec l'un des taux de vaccination les plus bas du pays (moins de 40 % ont le calendrier vaccinal complet).
Mardi, la société sud-africaine Aspen Pharmacare a annoncé qu'elle avait signé un accord de licence pour conditionner et vendre le vaccin COVID-19 de Johnson & Johnson en Afrique.
Les autorités sanitaires nigérianes ont signalé, mercredi 1er décembre, trois cas du nouveau variant, omicron, chez des passagers en provenance d'Afrique du Sud. Le CDC africain a assuré qu'un séquençage rétrospectif des cas confirmés parmi les voyageurs au Nigeria a permis d'identifier le nouveau variant dans des échantillons prélevés en octobre.
Le Maroc a suspendu lundi et pour deux semaines tous les voyages aériens en provenance du monde entier en raison de la propagation rapide du nouveau variant omicron. La France a rapatrié plus de 20 000 personnes bloquées au Maroc.
En ce qui concerne la vaccination en Afrique, seuls 7 % de la population sont déjà entièrement vaccinés. L'Organisation mondiale de la santé a exhorté dimanche les pays du monde entier à ne pas imposer d'interdiction de vol aux pays d'Afrique australe en raison des inquiétudes suscitées par le nouveau variant omicron. La directrice régionale de l'OMS pour l'Afrique, Matshidiso Moeti, a appelé les pays à suivre la science et les règlements sanitaires internationaux afin d'éviter de recourir à des restrictions de voyage.
Les autorités australiennes sont en alerte après la confirmation de 5 cas de contamination par le variant Omicron. Tous les cas ont été mis en quarantaine et restent asymptomatiques ou légèrement symptomatiques. En réponse à la menace que représente ce nouveau variant, le pays a reporté d'au moins deux semaines son projet d'assouplissement des restrictions frontalières.
La Nouvelle-Zélande a décidé d'aller de l'avant avec son projet d'assouplissement des restrictions à Auckland, malgré la menace du variant Omicron. Les bars, restaurants et salles de sport d'Auckland rouvriront leurs portes le 2 décembre. Cependant, les voyages vers la Nouvelle-Zélande ont été restreints pour 9 pays d'Afrique australe en réponse à la menace Omicron.
Malgré la menace actuelle liée au variant Omicron, la nation insulaire des Fidji, dans le Pacifique, a repris le tourisme pour les visiteurs internationaux après plus de 600 jours de fermeture.
Le Japon a signalé 2 cas confirmés du variant Omicron. Le premier cas concerne un jeune diplomate voyageant depuis la Namibie et le second est un homme d'une vingtaine d'années qui séjournait au Pérou. Les deux cas ne sont pas liés. Le 29 novembre, le Japon a annoncé une interdiction d'entrée pour tous les étrangers afin de freiner la propagation du variant Omicron.
La Corée du Sud a signalé une augmentation record du nombre d'infections quotidiennes par le COVID-19, avec 5 123 nouveaux cas signalés le 1er décembre. Le même jour, le pays a également signalé ses 5 premiers cas confirmés d’infection par le variant Omicron.
La Chine a proposé de fournir un milliard de doses de vaccin COVID-19 à l'Afrique lors d'un récent sommet Chine-Afrique au Sénégal. La Chine s'est inquiétée du fait que le variant Omicron, qui se propage rapidement, pourrait créer de sérieux problèmes pour les Jeux olympiques d'hiver de 2022 qui se dérouleront à Pékin.
Les Émirats arabes unis ont approuvé le vaccin russe Sputnik Light COVID-19 comme dose de rappel universelle.
En Israël, Où 4 cas de variant Omicron ont été confirmés et 34 suspectés en début de semaine, le gouvernement a décidé de fermer les frontières pour 14 jours à la plupart des pays africains.
- Les équipes de rédaction de Univadis, Medscape, Coliquio et Mediquality
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