M.S.T.

Selon une analyse menée à partir de la cohorte française Dat'AIDS, le choix du traitement serait influencé par l’origine des patients.

La diarrhée chronique est un motif fréquent de consultation en pédiatrie ou médecine générale, posant essentiellement la question de son étiologie.

Une étude espagnole a compilé près de 700 cas de diarrhées du voyageur afin d’identifier les facteurs favorisant l’évolution vers le syndrome de l’intestin irritable.

L'édition 2023 du congrès met l'accent sur l'importance de renforcer le dialogue et la collaboration avec les patients

Une équipe réunionnaise décrit l’utilité du dosage pour aider à discriminer rapidement les deux maladies, en attendant la confirmation diagnostique.

La Cour des comptes dénonce une gabegie en matière de dépenses sociales

Face à la recrudescence d'infections à streptocoques A chez les enfants de moins de 10 ans, l'ANSM rappelle les risques associés aux AINS.

Une piste d’immunothérapie anti-allergique qui mérite d’être suivie estime l'un des co-auteurs d'une récente étude.

L’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection a identifié les espèces de tiques et les bactéries associées chez des patients mordus en France.

Si l’anxiété et la dépression sont plus fréquentes chez les personnes ayant ressenti des symptômes du Covid-19, l’infection par le virus du SARS-CoV2 n'est pas en soi un facteur de risque d’altération de la santé mentale.

L'enfant est pâle, mais ne présente pas d'hématomes, de pétéchies, de saignements des muqueuses ou d'hépatosplénomégalie.

La saison grippale 2022-2023 a été marquée par sa précocité, une durée exceptionnellement longue liée à deux vagues successives et par de nombreuses hospitalisations.

La majorité des patients néerlandais atteints d’un diabète de type 2 à haut risque cardiovasculaire ne reçoivent pas les inhibiteurs du SGLT2 recommandés.

Une vaste étude de cohorte a révélé que les personnes recevant des médicaments contre la démence étaient moins susceptibles de recevoir des AINS et des opioïdes.

Les APSI est l’acronyme pour « allergènes préparés spécialement pour un seul individu » et sont spécifiques des allergies aux acariens, aux graminées, au bouleau, au chat, etc.

Plus de trois ans après le début de la pandémie de COVID-19, les mécanismes expliquant la présence de symptômes prolongés de la maladie chez 10 à 30% des personnes (COVID long), ne sont pas encore tous élucidés.

Une étude a comparé l’efficacité de l’azithromycine et de la doxycycline sur l’infection urogénitale et le respect du microbiote.