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Ces résultats ont été présentés lors du 91ème Congrès de l'European Atherosclerosis Society (EAS) le 22 mai dernier.
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Une méta-analyse importante, menée sur données individuelles, suggère la supériorité des inhibiteurs de P2Y12. Mais ces conclusions méritent peut-être d’être nuancées.
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Une approche multimodale focalisée sur les patients à haut risque a échoué à démontrer son intérêt selon une étude randomisée suisse.
Le vieillissement de la population fait aujourd’hui de l’arthrose un problème d’autant plus préoccupant qu’il n’existe aucun traitement satisfaisant.