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Le statut psychologique, qu’il soit positif ou négatif, affecte le pronostic et la santé sur le plan des MCV.
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Le nombre moyen de jours en vie hors de l’hôpital n’a pas différé entre les patients ayant arrêté la prise d’inhibiteurs du SRAA et ceux ayant continué à en prendre.
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Les ICP primaires fléchissent, indépendamment du statut diabétique.
Les résultats d’une méta-analyse suggèrent la nécessité d’accorder une attention particulière aux patients plus jeunes à haut risque.